Le 20 Septembre 2015, Volkswagen a admis publiquement avoir installé un «dispositif d'invalidation» (defeat devices) dans divers modèles de voitures vendues aux États-Unis à partir de 2009. Cette révélation a été suivie par une autre le 22 Septembre 2015, où l’on apprenait que le même dispositif avait été installé dans 11 millions de voitures à travers le monde. La société a déjà constitué une provision de 6,5 milliards d'euros pour couvrir les frais du scandale. Le montant total des amendes, rappels, et autres coûts liés directement et indirectement à cette affaire pourrait se révéler être beaucoup plus élevé. Depuis les révélations concernant le scandale des émissions, le prix de l'action Volkswagen a perdu environ 40%. Deminor a été contacté par divers clients à travers le monde en relation avec le scandale Volkswagen. Une enquête approfondie a été menée par Deminor.
Les documents officiels publiés par les autorités américaines montrent que VW était au courant à partir de mi-2014 que des enquêtes étaient en cours au sujet de ces émissions et que l'entreprise a reconnu les infractions le 3 Septembre 2015. En outre, un fournisseur a averti Volkswagen en 2007 que l’utilisation des dispositifs sur route était illégale, et un employé aurait selon la presse alerté la direction de VW en 2011 à propos de la manipulation des émissions. VW n’en a informé le marché que le 20 Septembre 2015. Deminor a mené une analyse approfondie de l'affaire en étroite coopération avec des avocats externes et a conclu qu'il y avait suffisamment de motifs pour que les investisseurs puissent réclamer à Volkswagen le remboursement des pertes subies en relation avec le scandale. Les investisseurs intéressés sont invités à prendre contact avec M. Bruno Wagner au bureau Deminor à Luxembourg (Bruno.wagner@deminor.com, +352 264 41 225) ou avec Mme Maria Cecilia Faget Brünner au bureau de Bruxelles (Cecilia.faget@deminor.com, +32 2 674 71 33). La date limite d'inscription est le 31 janvier 2016.